Roller en cherchant les paons

Adieu donc Laruns (les lecteurs qui ont lu l’article d’hier ne sont pas surpris) ; nous prenons, par les petites routes, la direction de Dax. Aucun jeu de mot sur l’absence de Micheline ou de Pierre, ce n’est ni le genre de la maison ni celui de notre lectorat. 
En tout cas, comme le dit le dicton, petites pattes, grande langue. A méditer. 

Nous déjeunons au Friand (pas de dwidwichs aujourd’hui), une sorte de halle avec des stands de nourriture et des places partagées entre les restaurants ; ça rappelle le Mercado Da Ribeira à Lisbonne. Sauf qu’ici il y a un énorme gâteau basque. 

Quelques trompe-l’œil (2 pour être précis) un peu de baguenaudage et on part. 

L’étang de Léon, vaste de 320 ha, abrite une réserve naturelle mais on ne peut pas en faire le tour à pied. Le vent s’est levé et les nuages l’accompagne. 

Ça souffle ! Pas question de se baigner; de toute façon la présence de cyanobacteries l’interdit depuis 3 jours. Pas besoin de caquettes non plus. 

Le vent fripon nous amuse. 

En s’éloignant (un tout petit peu) on découvre des coins charmants. 

L’hébergement dans Léon est proche ... 

... d’une longue piste cyclable goudronnée (faisant partie de Vélodyssée), parfaite pour reprendre le roller. 24 km, c’est déjà très bien ... mais de paon, point! 

Mais les vélos, ils ont le droit d’y accéder ou pas ?

Le concombre bénéficie grandement de la mousse de canard qui lui confère un côté ... presque bon!