Des patates au sel et au beurre
Hier, après l’orage enfin déversé sur la côte (il suffit d’attendre et Météo-France finit par avoir raison, avec 8 h de décalage, mais raison quand même) nous avons fait une partie de Monopoly. Cécile y a démontré ses compétences d’investisseuse, acquérant de rentables gares, construisant des maisons, dont le pauvre bougre que j’étais, accablé de taxes, peinait à payer le loyer et se retrouvait rapidement sur la paille, bardé d’hypothèques.
Une belle illustration du capitalisme !
Nous louons des vélos pour découvrir l’île autrement (oh! quel slogan), enfin la partie nord ; la question demeure, nous mouillerons nous ? Sur le chemin, une mignonne mairie …
… une plage à marée basse (comme d’habitude ; on a l’impression que c’est toujours basse mer).
Les incrédules trouveront dans la photo suivante un élément de preuve concernant les vélos.
Parfois on croit prendre une piste mais, envahie par le sable, elle nous contraint à pousser les vélos ; grâce à 2 cyclistes nous ferons demi-tour et éviterons 3 km de galère.
La jetée Jacobsen s’étire sur plus d’un km et séparé la mer de la réserve du Mullenbourg.
Les marais salants pullulent sur cette île ; l’agriculture fait évidemment la part belle la la pomme de terre (pdt) surtout primeur.
Un joli parcours, avec beaucoup de pistes cyclables et des automobilistes respectueux.
Nous avons bien mérité une poêlée sur le port de l’Herbaudière.